Habiteo était présent au MIPIM qui s’est tenu du 12 au 15 mars dernier à Cannes. Une édition riche en temps forts.

Le coup d’envoi a été lancé avec la conférence de presse de la French PropTech, suivi de la table ronde « la ville intelligente » sur Radio Immo. Julien Denormandie, Ministre en charge de la ville et du logement, est également venu sur le stand Habiteo découvrir les solutions métier pour l’immobilier neuf. Et enfin, chaque jour, nous avons pris soin de l’immobilier du lendemain avec notre malle #SOSMIPIM.

Au milieu de cet agenda bien chargé, nous avons pris le temps de vous donner la parole !

Alors, Philippe Depasse, Directeur Général de Projectim et Président de la FPI Hauts de France, si je vous dis :

 

Si je vous dis : Startup ?

« Il y a des startup qu’on voit poindre. Des startup qui finalement aujourd’hui aident les promoteurs à valider et à vendre les programmes à la fois aux villes mais aussi aux habitants. Et ça c’est un vrai sujet : comment faire accepter par les habitants un nouveau projet immobilier ?

Et ça ce n’est finalement pas des startup qu’on imaginait il y a quelques années mais c’est  des vraies startup. » 

Si je vous dis : GAFA ?

« Toute la data, et c’est là un vrai sujet. Toute la data que finalement « à l’insu de notre plein gré » comme dirait un fameux coureur cycliste, cette data que l’on donne sans vraiment s’en apercevoir. Et je pense qu’à terme il faudra légiférer de manière un peu plus sérieuse. »

Si je vous dis : Relation client ?

« Dans l’immobilier, demain, pour moi la relation client c’est d’abord et avant tout d’essayer de créer une relation personnelle. C’est à dire d’essayer de faire en sorte que ce soit l’appartement de ce client et non pas un appartement. Mais bien l’appartement. Voila pour moi comment je conçois aujourd’hui la relation client. »

Si je vous dis : Nouveaux usages ?

« Les nouveaux usages je vais presque dire qu’ils sont déjà là. On sent cette demande poindre et en même temps pour le promoteur c’est de gérer le temps d’adaptation. Quand devrons nous finalement mettre sur le marché des projets, des produits qui correspondent à ces nouveaux usages ? »